Bonjour,
Moi, c'est le répondeur de service et je suis de cinquantaine, je vis particulièrement vivant et pas mort.
Grâce à mon coeur qui bat dans ma poitrine et au sang qu'il véhicule dans mon corps et à la nourriture que j'ingère quotidiennement à table et non sur terre battue.
Nous étions au nombre de 3 ( trois ) le papa, la maman et le grand frère aîné qui à 40 ( quarante ) ans n'était toujours pas marié.
Maman est décédée d'un cancer aux philippines et personne n'a pu la sauver malgré la mallette pleine de billets en dollar que nous à volé le responsable de la société de sécurité monsieur Samuel Kone.
Mon grand frère est en prison pour longtemps car il s'est essayé sans succès à l'escroquerie par internet en utilisant des combines tellement connes qu'il était le seul à y croire.
Mon papa, je l'ai à peine connu car, lors d'un voyage en Afrique, il s'est fait dévoré par des cannibales affamés en côte d'ivoire.
C'est pour cela que je puis vous parler des coutumes et cultures africaine, je n'y suis souvent rendu pour tenter de récupérer les ossements paternel sans grand succès. Les anciens m'ont annoncés qu'il se servent des parties du squelette pour faire de la vaisselle, des attelles et des lampions. Cela d'ennuis un peu de penser que mon paternel sert de lampadaire dans une case crasseuse.
Je vois en outre que vous êtes en rapport avec le Bénin mais ce n'est pas bien grave!
Si vous voulez un complément d'informations, surtout n'hésitez pas à m'en faire part.

Bonjour et installez vous.
Vous me souhaitez une bonne journée, je doit vous dire en vérité que votre lettre inopportune m'est désagréable.
Êtes vous installé?
Reprenons donc donc les points clés du message stupide qui m'est adressé.
Pour le désagrément occasionné, je vous en ai déjà touché quelques mots. Considérons le sujet comme clos.
Je pense au contraire de vos affirmations, que nous nous sommes souvent rencontré, même s'il ne s'agissait nullement de vous en personne, c'était d'autres individus tout aussi stupides dans la formulation de leurs écrits. À vous tous, dans la plus complète ignorance, vous ne formez qu'une et unique entité nommée un peu techniquement: crétinisme.
Si vous me supposé être digne de confiance cela dénote en vous une faiblesse innée situé dans le cortex cérébral. Cette tare vous facilite grandement l'existence en vous empêchant naturellement toute initiative d'entreprise et d'intégration au sein hiérarchique , même, d'une société primitive. La preuve la plus flagrante de ce que j'avance est votre entière dévotion à un tiers immatériel et supposé auquel vous faite sans cesse référence et sur qui vous vous reposez sans efforts.
Vous vous présentez comme bénéficiaire unique de l'héritage de votre parent paternel en adjugeant un rôle très secondaire à votre mère. Ce symptôme n'est pas anodin, il révèle, en effet, le manque d'affection parental que vous éprouviez lors de votre jeunesse et la part de responsabilité dans le malheur qui vous afflige maintenant. Ceci me laisse supposer que vous étiez épris de votre chien et que vous assouvissiez cette passion par de fréquent et frénétiques rapports sexuels avec l'animal en question.
Une petite remarque sans lien avec le texte mais plutôt sur la forme du message. La rareté, voire l'absence chronique de signe ponctuel me font penser que, morphologiquement parlant, vous devez posséder des poumons éléphantesque et une cage thoracique assez vaste pour abriter un hall de gare. Fin de la petite remarque.
Considérons la suite de votre texte de façon plus optimiste. Vous êtes en procession d'une somme d'argent qu'il vous est difficile d'approcher, ceci constitue une excellente nouvelle en elle même. Vous faites, sans le vouloir des économies fantastiques que beaucoup de gens vous environs certainement. En n'acceptant pas cette offre, je refuse mon pourcentage et contribue à ma façon à la fructification de vos gains. Surtout ne perdez pas de l'esprit que l'argent ne fait pas le bonheur.
Pour conclure, je suis en mesure de vous affirmer que vous souffrez d'un syndrome avancé de mythomanie ce qui vous conduit, en toute naïveté et innocence, à produire ce genre de textes complètement cons. L'hilarité et l'incrédulité provoquées par votre piètre production vous conduisent subrepticement à vous refermer sur vous même. Sortez de ce carcan si vous en avez encore la force car l'apoplexie vous guette et un triple pontage coronarien n'est certainement pas à la porté de toutes les bourses.
Mon conseil: Éloignez vous définitivement des ordinateurs et autres cyber cafés mal famés, faite un peu de sport et trouvez vous un vrai travail pour gagner votre lamentable vie. Votre famille sera enfin fière ( pas trop non plus ) de vous et vous laissera de nouveau rentrer à la maison où vous retrouverez, enfin, votre chien.

PS: Vous devez régler mes frais d'honoraires au plus vite par virement Western Union©
Professeur Simon Qussonnaitaurèleur
12 allée des pleurs
Villa Mortecouil
Toamasina 2
Madagascar

Ami ou ennemi,
Je suis Voghar le corrompu, gardien de la déchéance et officier des châtiments.
Vous me trouvez dans une position embarrassante à l'extrème onction!
Ma sensibilité ésotérique et prémonitoire m'effirale de toucher quelque argent que ce soi.
Mais mon monorigal de corruption reste, certes, fidèle à sa source balnorique.
Comment selon vos dires, puis-je recouvrer créance auprès de vous après un si infâme silence.
Ô vie infinie de mornes solitudes, embrase la vigilance du niais affalé à mes pieds d'airain. Ce triste bâtisseur de chimères, ce piètre moissonneur d'espace stériles à jamais. Quoi que veut ce mortel impie et ignare, bafoue sa vertu idéale.
Faites suivre, si la force annélistose est en votre âme, vos conseils désopilant pour conclure votre allégeance sermentale à l'accomplissement de l'acte ultime.
Venez à moi!
Ainsi parlait Voghar le corrompu.

BONJOUR,
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G.LAIREQUON POUR BENARAND INTERNATIONAL.

BENARAND INTL. un service d'avance.

Monsieur le directeur
Je vous fais une lettre de démotivation
Que vous lirez peut-être
Si vous savez lire
Je viens de recevoir
Votre mail alléchant
Pour partir au travail
Avant demain soir.
Monsieur le directeur
Je ne veux pas y aller
Je ne suis pas sur terre
Pour me faire arnaquer
C'est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise
Je m'en vais vous ignorer

Depuis que je suis né
J'ai vu trimer mon père
J'ai vu bosser mes frères
Et grandir mes enfants
Ma mère a tant de fierté
Elle est honnête et sage
Et se moque de vous
Et se moque des mugus.
Quand j'étais étudiant
On m'a donné le savoir
On m'a donné mon âme
Et tout mon cher présent
Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des lettres mortes
J'irai à mon boulot

Je gagne ma vie
Sur les routes de France
De Bretagne en Provence
Et je dis aux gens:
Refusez d'écrire
Refusez de le croire
N'allez pas chez ce débile
Refusez de partir.
S'il faut donner son fric
Allez donner le vôtre
Vous êtes mauvais apôtre
Monsieur le directeur
Si vous me poursuivez
Prévenez vos complices
Que je tiendrai une arme
Et que je sais tirer